On Sale
1-Down in the city | |
2-One More Chance | |
3-Still 15 | |
4-Close To Me | |
5-Laura Lee | |
6-Dakar | |
7-Know What you do | |
8-Wrong | |
9-Miss Innocent | |
10-Charlene | |
11-Sacrified | |
12-Dizzy Miss Lizzie | |
13-What Shall I Do |
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Les Garçons Sauvages were based in Toulouse and played during only one year, the time for several wild shows and exciting story. Here is their first 2008 debut album for your pleasure. Including some, their hit "Down in the city" and a savage version of "Dizzy Miss Lizzy"
Reviews
En 2007 sortait cet Ovni Pub Rock. « Born to lose » chantait Johnny Thunders. « Riot in Toulouse » a répondu le petit Bob. Les Garçons « Sacrified » Sauvages apportent leur pierre à l’édifice.
Les Garçons Sauvages jouent du rock comme il devrait toujours être : avec l’art et la manière. Une sorte d’évidence adolescente revisitée par plusieurs pairs d’années d’histoire de cette musique à ne pas mettre entre toutes les hanches. Ici, on ne parle pas de gendre idéal (le rock est mort avec cette allégorie), mais de pubs enfumés et de bières tièdes. Oui, les quatre toulousains tirent leurs rythmes binaires et le son de leur Rickenbacker du côté des plages embrumées du nord de l’Angleterre. Vous y êtes ? Dr Feelgood, Inmates et autres Ian Dury sauront les remercier de poursuivre – avec talent – un bout de l’aventure pub rock. Pour autant, une fois balayées ces effluves britanniques, certains morceaux de « Sacrified » fleurent bon un rock made in USA aux fragrances garages et aux premiers miracles newyorkais comme Television a su les magnifier. Oui, c’est à cette croisée de ces délicieux chemins pavés de bonnes sensations que Les Garçons Sauvages nous entraînent avec ce disque sorti en… 2007 ! Il était temps d’en dire deux mots… Heureusement que le temps s’oublie et la qualité reste, en musique plus qu’ailleurs. Surtout lorsqu’en France, on peut comparer ces garçons aux Dogs, Tony Truant (logique !) et autres fines gâchettes des scènes normandes, angevines et clermontoises. A noter qu’aujourd’hui encore, Serge Fabre (à la guitare solo chez les Garçons Sauvages) n’est autre que le patron de Bang ! Records. Tout est normal, plus rien à dire.
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Hervé Devallan
http://www.rockmadeinfrance.com/actu/garcons-sauvages-sacrified/21848/
02-03-2009: Chronique de l'album des Garçons Sauvages dans Abus Dangereux N°108 ABUS DANGEREUX N°108
TWEETSHAREFaites gaffe ! Ces garçons sauvages viennent de me filer une sacrée beigne avec leur "Sacrified". Me suis vite retrouvé sur le cul, projeté dans les années Nineteen où le rock made in Toulouse battait le haut du pavé de notre rock hexagonal. Toujours un oeil sur la bagarre et un autre sur_leurs guitares estampillées early-Stones, Plimsouls ou Dogs, ces toulousains là vous décochent de bonnes droites en plein visage ("Down in the City", "One More Chance", "Stil! FiFteen"), des uppercuts au foie ("Wrong", "Laura Lee"), et vous achèvent avec de bonnes tisanes ("Charlene", "VVhat Shall I Do")... Des Garçons Sauvages finalement à la too much class pour le voisinage, et un album hautement recommandable... à dénicher avant qu'ils ne m'en recollent une bonne! [JFA]
LES GARCONS SAUVAGES
Voilà un album qui fleure bon l'artisanal. le fait maison, l'enregistré dans la piaule du guitariste et peaufiné sur le PC du salon. Et compte tenu de cette configuration minimale, force est d'admettre que c'est du ton boulot. Les guitares (estampillées Chuck Berry/Johnny Thunders) déblaient le passage pour d'électrisantes mélodies calibrées punk rock et garage bluesy. En concert, ils reprennent le Gun Club et le Velvet et on devine qu'au moins un des membres du gang doit régulièrement s'envoyer les premiers 45t des Dogs au p'tit dèj.
Le chanteur du groupe était longuement interviewé dans notre N°40 et y affirmait l'attirance du groupe pour le rock new yorkais de la deuxième partie des seventies, de Tom Verlaine aux Ramones en passant par Please Kill Me et Mean Streets. Ca s'entend.
Les Garçons Sauvages ne bouleverseront certes pas le paysage (d'ailleurs ils viennent de se séparer), mais leur album "Sacrified" se fera facilement une place au chapitre "étoiles filantes" quand il s'agira de retracer l'histoire du Rock made in Toulouse. Dommage qu'ils n'aient pas eu le temps de se colleter avec un vrai studio, on aurait bien aimé être VRAIMENT décoiffé par "Down In The City'', le hit à la New
York Dolls qui ouvre l'album. Le disque est sorti sur Bang! Records, une petite structure probablement éphémère elle aussi, qui n'a rien à voir avec le label basque du même nom.
(www.bangrecords.net)